Face book m’a tué

A chaque jour suffit sa peine


Face book  m’a tué
Bouziane Moussaoui


Le Grand Victor Hugo écrivait

On ne souffre jamais que du mal que nous font ceux qu'on aime. Le mal qui vient d'un ennemi ne compte pas.

Justement, Face Book m’a tué sans consulter le Bon Dieu !
Et si la personne qui m’a tué le 27 décembre 2014 sur Face Book en faisant croire aux lecteurs que j’étais victime d’un accident de circulation, est un ami, ou mon élève, je lui dis tout simplement qu’il m’a fait mal, à moi, à ma famille et à tous ceux qui m’aiment et que j’aime. Bravo ! Tu as su incarner le Mal.
Dieu seul saura te punir car un jour tu vas répondre de tes actes devant lui avec les disciples de Satan.

Si au contraire, l’auteur du mensonge est un ennemi, je réponds tout comme V.Hugo :

« Le mal qui vient d’un ennemi ne compte pas ».

L’auteur de l’article en question, un article très médiocrement rédigé d’ailleurs, a très mal choisi le jour de mon accident et de ma mort, car ce jour-là, je passais un entretien pour postuler à un poste de responsabilité dans
les locaux de l’académie régionale de l’éducation et de la formation de l’oriental à Oujda. Je suis sorti seul de Nador – de chez moi – à 06 heures du matin, à 08 heures et des minutes, j’étais dans les locaux de l’Académie à Oujda ; j’ai passé mon entretien vers 09 heures 40 minutes, à 10heures 15 minutes environ, j’étais déjà, et seul, au volant de ma voiture : direction, Nador centre où j’habite avec ma petite famille qui m’attendais au déjeuner.

Ce n’est que quelques minutes après que quelqu’un, qui ne s’était pas présenté, qui me téléphona pour me poser la question si j’allais bien, puis un autre appel du même acabit, puis encore un autre. Je crus d’abord, ma femme et ma fille aussi, que des amis plaisantaient avec moi, mais, il est temps de dire à mes lecteurs et à ceux de l’écrivailleur de Face Book, et à la manière de René Descartes :

Pour examiner la vérité, il est besoin, une fois dans sa vie, de mettre toutes choses en doute autant qu'il se peut.

Et, j’aimerais bien que les lecteurs de cet article de Face book, autant erroné que diffamatoire, qu’au lieu de me contacter par téléphone, ils devraient faire un petit effort pour poser des petites questions à mon assassin : quand l’accident a eu lieu ? où exactement ? à quelle heure ? Et si vraiment, il y avait quelqu’un avec moi ? Et qui ?

Je défie cette personne sans scrupule de nous fournir une réponse, une vraie réponse, sinon, qu’elle, cette personne, femme ou homme, aie l’audace de révéler sa propre identité pour que la justice soit faite.

Et normalement, dans le cas d’un accident grave (sic), il ya présence des autorités locales, des gendarmes, et des ambulances. Alors si j’étais vraiment victime de cet accident qui n’existe que dans l’imagination de l’écrivailleur

de Face book, pourquoi les lecteurs n’ont pas cherché à connaître les détails des hôpitaux, des autorités et d’éventuels témoins.

Un menteur est toujours un menteur ! et les responsables de Face book, publient malheureusement tout, pour dire qu’ils sont neutres et sociaux. C’est plutôt de l’argent qui les intéresse :
GRAND HARO DONC SUR FACE BOOK !

Et pour clore cette chronique qui selon Face book, ne devait plus voir le jour, je répète avec Descartes :

« Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans la vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances. »

Et je ne demande qu’une chose à MONSIEUR FACE BOOK, n’essayez pas de détruire le peu d’humanité qui existe en nous, merci.